Il extorque 250 dollars à une jeune femme en se faisant passer pour Eto’o
Nancy Camara, une guinéenne de 24 ans vivant en Egypte, est dans les problèmes actuellement à cause d’un « faux Samuel Eto’o ».
Samuel Eto’o, tout fraîchement retraité, a un nom qui pèse lourd, et malheureusement des personnes mal intentionnées s’en servent…. Tout a commencé le 19 juillet dernier, alors que le Sénégal et l’Algérie s’affrontaient en finale de la CAN 2019. C’est en postant un commentaire que Nancy a attiré les problèmes vers elle sans le savoir.
La jeune fille a raconté sa mésaventure à Lebledpale.com : « J’étais amie avec un certain Samuel Eto’o sur Facebook, il y a très longtemps. Le jour de la finale de la Can, l’intéressé a publié des photos. J’y ai collé un commentaire. Du coup, il a répondu en commentaire, me demandant où je suis. Je lui ai dit que je suis en Égypte. Il me dit, envoie-moi ton numéro WhatsApp, je t’enverrai mes photos que j’ai prises aujourd’hui. Je lui ai passé mon numéro et il m’a envoyé plein de photos. Il m’a par la suite appelée sur WhatsApp, un appel vidéo, quand j’ai décroché, j’ai vu Samuel Eto’o. Mais je ne peux pas dire que c’était lui, mais il ressemblait étrangement à Samuel Eto’o. Il m’a demandé ma situation ici en Égypte, je lui ai expliqué les situations que traversent les jeunes filles ici ».
Le « faux Samuel » a alors commencé à faire rêver la go : promesses d’emploi et d’une vie meilleure, les appels se sont multipliés et il a fini par annoncer à la jeune guinéenne qu’elle allait intégrer la fondation Samuel Eto’o. Il l’a mise en contact avec son « gestionnaire financier » pour s’occuper de tous les papiers nécessaires, un vrai scénario ! Nancy imaginait déjà la vie en rose mais tout s’est gâté dans le mois d’août.
« Il m’appelle et me dit qu’il faut 220 dollars, pour l’intégration. J’ai dit, okay, il n’y a pas de problème. Quand j’ai raccroché, j’ai appelé le soi-disant Samuel pour lui dire, tu connais la situation que je traverse et ton gestionnaire financier me demande encore de dépenser une telle somme ? Comment vais-je faire pour avoir cet argent ? Il me dit, non, je vais te faire un don, alors fait tout pour avoir cet argent. Fais tout pour avoir cet argent parce que moi je te donnerai 5000 dollars. J’ai dû emprunter les 220 dollars, et compléter à 250 dollars, parce que je devais d’abord envoyer l’argent en Guinée et ensuite acheminer au Cameroun. Quand il a reçu l’argent, il m’a transféré un papier et me demande de lire attentivement. Le papier avait plein d’erreurs. Je lui ai indiqué lesdites erreurs. Dans le document, le numéro du passeport qui y figurait n’était pas le mien, et pleines d’autres erreurs… Il me dit je vais rectifier, scanne juste tu signes et tu renvoies ».

La jeune femme s’exécute, « J’ai scanné et renvoyé. Il me dit, ici à la banque, on me demande deux timbres et les deux coutent 540 dollars. J’ai dit monsieur je n’ai pas d’argent. Ramenez-moi l’argent que je vous ai envoyé. J’ai appelé son ami Samuel, pour lui faire part de cette situation. Il me dit non, ce n’est pas un problème ». Elle commence à sentir que c’est un vendeur d’illusions, et le gars tente de la rassurer. « Il m’a dit, je t’ai appelé combien de fois sur Messenger combien de fois ? Qui est-ce que tu as vu ? Il me dit je suis bien Samuel Eto’o ». Et il lui envoie même des copies de passeport et carte d’identité au nom de Samuel Eto’o.
Nancy s’est alors mise à enquêter. Elle a fini par entrer en contact avec le petit frère du véritable Samuel Eto’o qui a confirmé ses doutes en lui disant que les documents sont des faux. Ils ont été forts quand même ! Une telle organisation bien mise en place ! Vraiment c’est pas bien ça!…
Un Camerounais tué aux Etats-unis
Beaudouin Tchakounte, chauffeur chez Uber, a été assassiné par un passager qu’il transportait.
C’est dans la nuit du 28 au 29 aout que Beaudoin Tchakounte a été tué dans le Comté de Prince Georges, dans l’Etat du Maryland. Le Camerounais était chauffeur chez Uber.
Selon la police, il a été tué avec un passager, par un autre passager qu’il venait de prendre à un pool Uber. Ce dernier a tué les deux hommes avec une arme à feu.
La police du comté a arrêté le présumé assassin, un afro-américain de 42 ans nommé Aaron Wilson.
Âgé de 46 ans, Beaudoin Tchakounte laisse une femme et quatre enfants.
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Scandale : L’ex président gambien Yahya Jammeh accusé de violences sexuelles
L’ancien chef d’État aurait abusé de plusieurs jeunes femmes alors quand il était au pouvoir.
L’ancien président gambien est dans de sales draps. Après dix-huit mois d’enquête, l’organisation de défense des droits de l’homme accuse Yahya Jammeh de violences sexuelles. Selon cette enquête de Human Rights Watch, Yahya Jammeh aurait violé une ancienne reine de beauté âgée de 18 ans au moment des faits (Décembre 2014).
« Ce moment-là, il m’a demandé s’il pouvait m’épouser, raconte Toufah Jallow. J’étais très naïve. Je pensais que je pouvais refuser son offre et continuer mes études. Donc, j’ai dit « non ». L’année qui suit, l’ancien président revient à la charge. « Il m’a invitée au palais, encore une fois. J’ai alors commencé à pleurer, à le supplier et à m’excuser, mais cela ne lui a rien fait(…)« Il a frotté son sexe sur ma figure et il m’a forcée à me baisser. J’ai essayé de me débattre et il m’a injecté alors une seringue. Il m’a sodomisée et il m’a dit des choses pour que je regrette de l’avoir rejeté, de lui avoir dit « non » dès le départ ».
Ce n’est pas le seul témoignage. Deux autres femmes l’accuse de les avoir contraint à des relations sexuelles en usant de pressions morales, financières ou physiques lorsqu’il dirigeait le pays. Plusieurs autres victimes n’osent pas parler à cause de la culture du pays.
En Gambie, sur les près de 700 dossiers, pas un seul ne mentionne une agression sexuelle de Yahya Jammeh au Centre des victimes. Pourtant, des histoires sont connues, certaines sont sorties dans la presse…
Gabon : Une lycéenne fait assassiner son petit ami à 54 coups de couteau
Le corps sans vie du jeune homme a été retrouvé à son domicile. Lilian Ndong Allogho a été poignardé à 54 coups de couteau.
C’est une affaire des plus macabres au Gabon. Leona Cyrielle Moussavou Bissielou, une jeune fille de 20 ans en classe de 1ère dans un lycée privé de la capitale gabonaise a, devant les éléments de la Police judiciaire (PJ), avoué avoir organisé le meurtre de son concubin Lilian Antoine Ndong Allogho, le 20 mars dernier. Celui-ci a rendu l’âme après 54 coups de couteau assenés par Etiphreme Bissielou alias «Zlatan», grand frère de Leona, âgé de 22ans, et leur ami Roly Matoutou, âgé de 20 ans.
Afrique du Sud : Le faux ressuscité du prophète Alph Lukau, est mort
Après avoir joué le rôle de mort récemment, Brigthon Moyo Elliot l’homme ”ressuscité” par le prophète sud-africain Alph Lukau est finalement décédé pour de vrai.
Selon Malawi24, iHarare.com, ZwNews.com, Bulawayo24 News et Zimbabwe News, pour en nommer quelques-uns, Elliot est décédé la semaine dernière en Afrique du Sud et a été enterré samedi. Un proche du jeune homme de 28 ans a affirmé que Elliot Brigthon Moyo était décédé trois jours après que son estomac ait commencé à enfler.
Malheureusement pour Brighton, le pasteur Alph Lukau n’était pas là pour faciliter une autre résurrection comme dans la vidéo qui avait fait le buzz en février dernier. Peut-être du côté de la médecine, une explication pourrait être trouvé sur la cause du gonflement de l’estomac de Brighton.
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Nécrologie : Le producteur Jean Pierre Saah assassiné à son domicile à Douala
Le célèbre producteur camerounais a été tué par des personnes armées dans la nuit du 31 mars.
Mauvaise nouvelle dans la sphère musicale camerounaise. Le grand Jean Pierre Saah est décédé. Il a été retrouvé mort à son domicile sis au quartier Bonabéri dans le quatrième arrondissement de la ville de Douala.
Selon les information reçues des membres de sa famille, le producteur aurait été tué aux environs de 22 heures par des individus armés, non identifiés. Ces derniers après l’avoir froidement abattu, auraient quitté le domicile sans rien emporter. Tout porterai donc à croire qu’il s’agit d’un règlement de compte.
Le corps sans vie du producteur a été déposé à la garnison militaire de Bonanjo.
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Nécrologie : la journaliste Mélanie Betebe Mbia n’est plus
La journaliste camerounaise a rendu l’âme ce matin suite de longue maladie à Paris.
Mauvaise nouvelle dans la sphère journalistique camerounaise. Une des leurs la dénommée Mélanie Betebe est décédée aux premières heures de ce mercredi 13 mars. En exercice à la Cameroon Radio Television (CRTV), et parallèlement Directrice de publication du quotidien Baromètre communautaire, la jeune femme est décédée après avoir été longtemps malade.
Selon certaines sources, elle serait morte d’une rupture d’anévrisme à Paris où elle avait été évacuée pour suivre un traitement.
Courage à la famille endeuillée.…
USA : Une adolescente de 14 ans écope 25 ans de prison pour meurtre
Elle a été reconnue coupable d’avoir poignardé à mort sa meilleure amie de 14 ans l’an dernier après une dispute au sujet des arrangements pour dormir.
Nylah Lightfoot est décédée à l’hôpital John Peter Smith de Fort Worth le 29 mai 2018, après que son amie, qui n’a pas été nommée publiquement parce qu’elle est mineure, l’a poignardée au cou et à la poitrine au cours d’une bagarre.
La jeune fille, qui avait 13 ans à l’époque, a témoigné devant le tribunal; elle et Nylah se sont rencontrées à l’école et sont devenues comme des sœurs. Comme deux sœurs, elle se disputaient tout le temps sauf qu’au cours de leur dernier combat, la jeune fille a déclaré qu’elle rentrait chez elle pour la nuit après une fête au bord de la piscine, car il y avait trop de filles dans l’appartement de Nylah pour leur soirée pyjama et pas assez de place dans leur lit.
Les deux copines se sont disputées à propos d’une porte qui claquait, puis à propos du retour des vêtements qu’ils s’étaient empruntés l’une à l’autre. L’accusée a affirmé que Nylah s’était alors présentée à son appartement vers 2 h 30 du matin et qu’elles se sont encore battus. À ce moment-là, elle a témoigné, elle est entrée et a eu un couteau de cuisine pour menacer Nylah. «Je l’ai poignardée et j’ai commis la pire erreur de ma vie», a déclaré la jeune fille. «J’aurais aimé penser clairement à l’époque. Je l’ai retirée instantanément et j’ai essayé de l’empêcher de courir. »
La jeune fille a déclaré qu’elle avait essayé d’arrêter le saignement avec une couverture et des serviettes jusqu’à ce que sa mère soit sortie et les ait vues. Elle a affirmé qu’elle envisageait de se blesser après le décès de Nylah, mais que sa mère l’avait convaincue de ne pas le faire. Après s’être livrée à la police, la fillette a également indiqué aux policiers où elle avait laissé le couteau qu’elle avait utilisé pour tuer Nylah.
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Mimi Mefo représente le Cameroun aux Index Censorship awards 2019
La jeune journaliste est en ce moment à Londres où elle prendra part à la cérémonie de récompenses.
Comme le dit si bien la maxime, après la pluie c’est le beau temps. Et ce n’est pas Mimi Mefo qui nous dira le contraire. Après avoir passé récemment quelques jours en prison, la journaliste a été nominée aux Index Censorship Awards 2019.
La jeune femme est la seule africaine nominée à cette compétition internationale qui chaque année récompense les artistes et les activistes déclarés qui ont apporté une contribution significative à la lutte contre la censure par le biais des arts, des campagnes, du militantisme numérique et du journalisme.
C’est par le biais de Facebook que la jeune dame a donné l’information à ses fans qui n’ont pas perdu du temps pour lui souhaiter leurs chaleureuses félicitations.
En attendant la cérémonie, nous lui souhaitons toutes nos félicitations nor mes gens? ou bien?…
Un élève du CM2 interpellé à Bertoua parce qu’il possédait une arme en classe
Élève à l’école Publique de Mokolo 2A à Bertoua dans la région de l’Est, il a été retrouvé en possession d’un pistolet automatique dans sa salle de classe.
Selon une source policière, le jeune élève était en possession d’un pistolet non chargé retrouvé dans son sac à dos qu’il a emporté de la résidence où sa maman travaille comme employée de maison. Ekani Ze puisqu’il s’agissait de lui, exhibait cette arme en classe depuis, la veille, le lundi 28 janvier 2019.
« Son institutrice a d’abord cru qu’il s’agissait d’un jouet avant d’être convaincue par un autre apprenant que l’objet en question était effectivement une arme à feu. Informé, le chef de l’établissement a aussitôt alerté la police », apprend-on.
Selon l’élève qui a été auditionné mercredi dernier, tout comme le chef de l’établissement, l’arme appartiendrait au vigile de cette résidence, qui a également été entendu. Les policiers ont également trouvé dans le sac du même élève le badge d’un policier, absent de la ville au moment des faits. Les aveux de cet écolier se sont corroborés au terme de l’enquête.…